Vous êtes ici

Décembre 2014

Message d'erreur

Deprecated function: Array and string offset access syntax with curly braces is deprecated in include_once() (line 20 of /homepages/38/d432474580/htdocs/Historia_Ecclesiae/includes/file.phar.inc).

Antipape Félix II

L'antipape Félix ii, de 355 à 365, était autrefois considéré comme un pape légitime par certains. Il est en quelque sorte situé entre Saint Libère et Saint Damase Ier. Au lendemain de la déportation du pape Libère en 355 par l'empereur Constance II le clergé romain, dont l'archidiacre Félix, jure de n'en point reconnaître d'autre tant que leur évêque vivrait. Mais sous les pressions de l'empereur, Félix change d'avis et se fait sacrer par trois évêques ariens. Le clergé se rallie à lui mais pas le peuple qui reste fidèle à Libère.
Quand Libère est libéré en 357 le clergé réunit la population dans le grand cirque de Rome et annonce que l'Église sera administrée par deux évêques. C'est un tollé qui accueille cette décision et lorsque Libère arrive à Rome une émeute éclate et chasse Félix. Ce dernier tente de revenir par la force quelque temps après, mais devant l'échec de sa tentative renonce définitivement et se retire sur ses terres dans les environs de Rome. Il meurt le 22 novembre 365.
Wikipédia

Saint Dominique Savio

À Mondonio dans le Piémont, en 1857, saint Dominique Savio. D’un caractère doux et joyeux depuis son enfance, il parcourut à grands pas, sous la direction de Saint Jean Bosco, le chemin de la perfection, qu’il acheva à l’âge de quinze ans.
Martyrologe romain

Saint Dominique de Guzman

Chanoine d’Osma en Espagne il se fit humble ministre de la prédication dans les régions troublées par l’hérésie des albigeois et vécut dans la condition méprisée de pauvreté volontaire, ne cessant de parler avec Dieu. À la recherche d’une nouvelle manière de propager la foi, il fonda, à Toulouse, l’Ordre des Prêcheurs, pour restaurer dans l’Église la manière de vivre des apôtres, en recommandant à ses frères de servir leur prochain par la prière, l’étude et le ministère de la parole. Il mourut à Bologne, le 6 août 1221.

Martyrologe romain

Saint Pierre Nolasque

À Barcelone en Catalogne, l’an 1256 ou 1258, saint Pierre Nolasque, prêtre. Avec Saint Raymond de Penyafort et le roi d’Aragon Jacques Ier, il fonda l’ordre de Notre-Dame-de-la-Merci pour la rédemption des captifs, et dépensa avec énergie son activité et son zèle, au temps du pouvoir des infidèles, pour soulager les chrétiens du joug de l’esclavage.
Martyrologe romain

Saint Maxime de Turin

À Turin, saint Maxime, premier évêque de cette ville. Par sa prédication toute paternelle, il amena les foules païennes à la foi du Christ et les dirigea par son enseignement plein de sagesse à la récompense du salut.
Martyrologe romain

Saint Eusèbe de Verceil

Evêque. Premier pasteur de Verceil en Piémont, il consolida l’Église dans toute la région sub-alpine et, à cause de la confession de foi de Nicée, il fut relégué par l’empereur Constance à Scythopolis, puis en Cappadoce et en Thébaïde, d’où il revint à son siège au bout de huit ans d’exil, et il voulut mener avec ses clercs la vie commune. Il mourut, confesseur de la foi, le premier août 371.
Martyrologe romain

Saint François de Borgia

À Rome, en 1572, saint François de Borja, prêtre. Après la mort de sa femme, dont il avait eu huit enfants, il quitta les dignités du siècle et refusa celles de l’Église, entrant dans la Compagnie de Jésus, dont il fut élu préposé général, vraiment remarquable par l’austérité de sa vie et son don d’oraison.
Martyrologe romain

Saint Jean de Dieu

Né au Portugal, après une vie pleine d’aventures et de périls, où il fut tour à tour en Espagne berger, régisseur, soldat, pèlerin et marchand d’images, mais avec le désir d’une vie meilleure, il construisit à Grenade un hôpital où il servit et soigna avec une constante charité les pauvres et les malades, et s’adjoignit des compagnons qui constituèrent plus tard l’Ordre des Hospitaliers de Saint Jean de Dieu. Il s’en alla vers le repos éternel en 1550.
Martyrologe romain

Sainte Jeanne de Chantal

Religieuse. Elle avait été mariée au baron de Chantal et lui donna six enfants qu’elle éleva avec sollicitude. Après la mort de son mari, sous la direction de saint François de Sales, elle entra avec bonheur dans la voie de la perfection et accomplit des œuvres de charité, pour les pauvres surtout et les malades. Elle fonda avec lui l’Ordre de la Visitation, qu’elle dirigea avec sagesse, et mourut à Moulins, le 13 décembre 1641.
Martyrologe romain

Pages