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Novembre 2014

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Gluck

Christoph Willibald Ritter von Gluck est un compositeur allemand d'opéra de la période classique, né à Erasbach, dans l'électorat de Bavière, le 2 juillet 1714 et mort à Vienne, dans l'archiduché d'Autriche, le 15 novembre 1787.
Il a transformé l'opéra avec sa célèbre « réforme » visant à introduire le naturel et la vérité dramatique, et qui a notamment occasionné la querelle des Gluckistes et des Piccinistes, qui l'opposa aux piccinistes, défenseurs de l'opéra italien, sans jamais toutefois le brouiller avec qui que ce soit. Il reste l'un des compositeurs les plus importants de la musique de la période classique dans l'aire germanophone avec Joseph Haydn, Wolfgang Amadeus Mozart, Karl Ditters von Dittersdorf et Carl Philipp Emanuel Bach.

Joseph Haydn

Franz Joseph Haydn ( il n'utilisait jamais son premier prénom ) né à Rohrau sur la Leitha en Basse-Autriche, le 31 mars 1732 et mort à Vienne le 31 mai 1809, est un compositeur autrichien. Il incarne le classicisme viennois au même titre que Mozart et Beethoven, les trois compositeurs étant regroupés par la postérité sous le vocable de « trinité classique viennoise »1.
La carrière musicale de Joseph Haydn couvre toute la période classique, allant de la fin du baroque aux débuts du romantisme. Il est à la fois le pont et le moteur qui a permis à cette évolution de s'accomplir2. L'image du « papa Haydn »3 ne vient pas des titres de « père de la symphonie » ou « père du quatuor à cordes » généreusement décernés au xixe siècle et même de nos jours. La création de ces genres relève d'une genèse un peu plus complexe, mais Haydn a très largement contribué à leur émergence et leur consolidation.
Deux de ses frères furent également des musiciens :

Mozart

Joannes Chrysostomus Wolfgangus Theophilus Mozart, ou Wolfgang Amadeus Mozart (né à Salzbourg, principauté du Saint-Empire romain germanique, le 27 janvier 1756, mort à Vienne le 5 décembre 1791), est un compositeur. Mort à trente-cinq ans, il laisse une œuvre importante (six cent vingt-six œuvres sont répertoriées dans le catalogue Köchel), qui embrasse tous les genres musicaux de son époque. Selon le témoignage de ses contemporains, il était, au piano comme au violon, un virtuose.
On reconnaît généralement qu'il a porté à un point de perfection le concerto, la symphonie, et la sonate, qui devinrent après lui les principales formes de la musique classique, et qu'il fut un des plus grands maîtres de l'opéra. Son succès ne s'est jamais démenti. Son nom est passé dans le langage courant comme synonyme de génie, de virtuosité et de maîtrise parfaite.

Beethoven

Ludwig van Beethoven est un compositeur allemand né à Bonn le 16 ou le 17 décembre 1770 et mort à Vienne le 26 mars 1827.
Dernier grand représentant du classicisme viennois (après Gluck, Haydn et Mozart), Beethoven a préparé l’évolution vers le romantisme en musique et influencé la musique occidentale pendant une grande partie du xixe siècle. Inclassable (« Vous me faites l’impression d’un homme qui a plusieurs têtes, plusieurs cœurs, plusieurs âmes » lui dit Haydn vers 17932), son art s’est exprimé à travers différents genres musicaux, et bien que sa musique symphonique soit la principale source de sa popularité, il a eu un impact également considérable dans l’écriture pianistique et dans la musique de chambre.
Surmontant à force de volonté les épreuves d’une vie marquée par la surdité qui le frappe à 26 ans, célébrant dans sa musique le triomphe de l’héroïsme et de la joie quand le destin lui prescrivait l’isolement et la misère, il est récompensé par cette affirmation de Romain Rolland : « Il est bien davantage que le premier des musiciens. Il est la force la plus héroïque de l’art moderne ». Expression d’une inaltérable foi en l’homme et d’un optimisme volontaire, affirmant la création musicale comme action d’un artiste libre et indépendant, l’œuvre de Beethoven a fait de lui une des figures les plus marquantes de l’histoire de la musique.

Léonard de Vinci

Léonard de Vinci (Leonardo di ser Piero da VinciLeonardo di serP iero da Vinci écouter, dit Leonardo da VinciNote 2), né à Vinci le 15 avril 1452 et mort à Amboise le 2 mai 1519, est un peintre florentin et un homme d'esprit universel, à la fois artiste, scientifique, ingénieur, inventeur, anatomiste, peintre, sculpteur, architecte, urbaniste, botaniste, musicien, poète, philosophe et écrivain.

Goethe

Johann Wolfgang von Goethe, né le 28 août 1749 à Francfort et mort le 22 mars 1832 à Weimar à 82 ans, est un romancier, dramaturge, poète, théoricien de l'art et homme d'État allemand, passionné par les sciences, notamment l'optique, la géologie et la botanique, et grand administrateur.
Wikipédia

Apparition mariale à Alphonse Ratisbonne

Alphonse Ratisbonne était le neuvième et plus jeune enfant d'Auguste Ratisbonne et de son épouse Adélaïde, une famille de banquiers juifs de Strasbourg et descendait de Cerf Beer. Son père était le président du consistoire d'Alsace. Lorsque son frère aîné Théodore (1802-1884) se convertit au catholicisme et se vit écarté par la famille, Alphonse rejeta toute forme de religion.
Après des études de droit à Paris, Alphonse Ratisbonne entra dans la banque familiale et annonça ses fiançailles avec sa nièce, âgée de 16 ans. Celle-ci étant encore trop jeune pour le mariage, il s'éloigna quelque temps de Strasbourg et partit faire un voyage d'agrément en Italie. Ce fut à Rome, dans la basilique Sant'Andrea delle Fratte (avec Marie-Théodore Renouard de Bussièrre), qu'il dit avoir eu une vision de la Vierge Marie le 20 janvier 1842 ; il décida alors de se convertir au catholicisme. Il ajouta le prénom de « Marie » à son nom de baptême. Il entra dans la Compagnie de Jésus en juin 1842 et reçut l'ordination sacerdotale en 1848.
En 1850, il fut nommé aumônier des prisonniers de Brest. Deux ans plus tard, avec l'autorisation du supérieur général des Jésuites, Jean-Philippe Roothaan, et la bénédiction du pape Pie IX, il quitta la Compagnie de Jésus pour rejoindre son frère Théodore et les « Pères de Sion » à Paris. En 1855, il s'installa en Palestine, où il passa le reste de son existence, et y emmena une partie de la communauté de Notre-Dame de Sion. Il fonda en 1858 le couvent de l'Ecce Homo dans la Vieille Ville de Jérusalem, pour les Sœurs de Sion, auquel il adjoignit une école et un orphelinat. En 1860, il fit construire le monastère de Saint-Jean sur la colline d'Ein Karem, dans les environs de Jérusalem, avec une église et un orphelinat. En 1874, il fonda le monastère Saint-Pierre-de-Sion, dit « monastère Ratisbonne », aujourd'hui occupé par un centre d'étude salésien, dans le quartier de Réhavia à Jérusalem. Enfin, il créa l'orphelinat Saint-Pierre, près de la porte de Jaffa, et une école d'apprentissage5.

Discours de Ratisbonne

Le discours de Ratisbonne est un discours que le pape Benoît XVI a présenté sur le rapport entre la raison et la foi, intitulé Foi, raison et université - Souvenirs et réflexions, à l’université de Ratisbonne en Allemagne, où il avait été professeur. Le 12 septembre 2006, Benoît XVI entame un discours sur les rapports entre la religion et la violence, pour faire une condamnation claire et motivée de la violence exercée au nom de la religion. Une citation du discours déclenche de vives réactions politiques et religieuses dans le monde, majoritairement négative dans les pays musulmans, plutôt positive dans les pays occidentaux prenant la défense du pape au nom du dialogue religieux et de la liberté d'expression, sauf en "France ou l'on revient à plusieurs reprises sur la déclaration controversée que le pape avait faite à Ratisbonne concernant la religion musulmane.

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