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Bienheureux Carlo Acutis

Né le 3 mai 1991 à Londres et mort à Monza le 12 octobre 2006.
D'une grande piété et très engagé dans l'Église, Carlo Acutis est mort d'une leucémie foudroyante alors qu'il n'avait que 15 ans, laissant un grand vide dans la mémoire de tous ceux qui l'ont connu, ainsi qu'une profonde admiration, pour ce que fut le court mais intense témoignage de sa vie authentiquement chrétienne.
Carlo était très doué pour tout ce qui se rapportait au monde de l'informatique si bien qu'autant ses amis que les adultes diplômés en informatique le considéraient comme un génie.
En somme, ce jeune fidèle du diocèse de Milan était un mystère.
Avant de mourir, il fut capable d'offrir ses souffrances pour le Pape et pour l'Église.
(Nominis)

JMJ de Rome

XVème JMJ - Du 15 à 20 août 2000 à Rome ayant rassemblé 2 à 2,5 millions de jeunes sur le thème :
Le Verbe s'est fait chair et Il a habité parmi nous. (Jn 1,14)

Saint Grégoire Barbarigo

Né dans une illustre famille de Venise, il devient diplomate et, à ce titre, participe au traité de Westphalie. Il a 23 ans. Il quitte cette carrière pour devenir prêtre, mais il la retrouve en étant nommé nonce à Munster. Cependant, il préfère le ministère pastoral quand il revient à Bergame comme évêque, puis à Padoue. Tout cardinal qu'il était, il prêche et enseigne le catéchisme aux enfants. Il fonde également un séminaire avec une chaire de langues orientales et une imprimerie polyglotte. Pour lui, il vit très pauvrement, réservant son patrimoine et ses revenus aux pauvres ou à l'équipement pastoral de son diocèse. Il recherche l'union avec l'Église d'Orient et le dialogue avec les juifs et les non-chrétiens.
(Nominis)

Sainte Rita de Cascia

Le culte de sainte Rita est mieux attesté que sa vie. On peut cependant en reconstituer les grandes lignes. Née dans un petit village italien, elle fut l'enfant inespérée de la vieillesse. Toute jeune, elle veut se consacrer à Dieu contrairement au projet de ses parents. Elle se laisse marier à Fernandino, un homme violent dont elle a deux fils. Elle est une épouse et une mère sans reproche. Mais les querelles de clans sont féroces dans l'Italie du XVe siècle; Fernandino est assassiné après 18 ans de vie conjugale pendant lesquelles la douceur de Rita a peu à peu converti à la paix et à la charité le mari brutal. C'est un déchirement pour Rita, mais plus encore lorsqu'elle voit que ses deux fils, pour venger leur père, sont prêts à assassiner à leur tour. Rita supplie Dieu de les rappeler à lui plutôt que de les laisser devenir assassins. Dieu exauça sa prière. Demeurée seule, Rita s'emploie à réconcilier les clans ennemis, pardonnant aux assassins, avant d'entrer chez les Augustines de Cascia. Elle y vivra une vie mystique intense et recevra les stigmates de la Passion du Christ. A sa mort, les miracles se multiplient sur son tombeau, faisant naître un culte populaire qui se répand rapidement. Sainte Rita a reçu le titre de "sainte des causes désespérées".
(Nominis)

Saint Ubald de Gubbio

Doyen de Saint-Augustin de Gubbio, près d'Ancone, il introduit la vie en communauté pour les chanoines de la cathédrale.
Évêque en 1128.
Canonisé en 1192.
(Nominis)

Saint Venant de Camerino

Venant, de Camérino, avait quinze ans, lorsqu’il fut dénoncé comme chrétien à Antiochus alors gouverneur de la ville pour l’empereur Dèce. Il se présenta lui-même aux portes de la ville à ce magistrat, qui, après l’avoir tenté longuement par des promesses et des menaces, ordonna de le battre de verges et de le charger de chaînes. Un Ange délie miraculeusement ses liens ; il est alors brûlé avec des torches ardentes, puis suspendu, la tête en bas, au-dessus d’un feu allumé sous lui. Sa constance dans les tourments frappe d’admiration le greffier Anastase, et quand il le voit, une seconde fois délié par l’Ange, marcher, vêtu de blanc, au dessus de la fumée, il croit en Jésus-Christ, et se fait baptiser avec sa famille par le bienheureux Prêtre Porphyre, en compagnie duquel il remporte, peu de temps après, la palme du martyre.

Ramené devant le gouverneur, et inutilement sollicité d’abandonner la foi du Christ, Venant est jeté en prison. Le gouverneur envoie un héraut, nommé Attale, qui vient dire à Venant que lui aussi a été chrétien, mais qu’il a renoncé à ce titre, parce qu’il a reconnu la vaine illusion d’une foi en raison de laquelle les Chrétiens se privent des biens présents, dans l’espérance chimérique de biens futurs. Le noble athlète du Christ, qui connaît les ruses de notre perfide ennemi, repousse loin de lui ce ministre du démon. On le ramène donc devant le gouverneur : on lui casse toutes les dents et on lui brise les mâchoires, et, ainsi mutilé on le jette sur un fumier Mais un Ange vient encore le délivrer. On le fait comparaître de nouveau devant le juge, et celui-ci, à la voix de Venant qui parlait toujours tombe de son siège en s’écriant : « Le Dieu de Venant est le vrai Dieu ; renversez les nôtres ».

A cette nouvelle, le gouverneur fit aussitôt exposer Venant aux lions ; mais contrairement à leur férocité habituelle, ces animaux se jetèrent à ses pieds. Pendant ce temps, le jeune homme enseignait au peuple la foi du Christ ; aussi fut-il éloigné et remis en prison. Le lendemain. Porphyre ayant raconté au gouverneur une vision qu’il avait eue pendant la nuit, et dans laquelle il avait vu Venant resplendissant de lumière baptiser le peuple, tandis qu’un brouillard épais couvrait le gouverneur, celui-ci, transporté de colère, donna l’ordre de lui trancher immédiatement la tête ; il commanda ensuite de traîner Venant jusqu’au soir par des lieux couverts d’épines et de chardons. On le laissa à demi-mort, mais dès le lendemain matin, il se présentait de nouveau devant le gouverneur, qui le fit aussitôt précipiter du haut d’un rocher. Arraché encore par miracle à cette mort, Venant fut traîné jusqu’à un mille de la ville par les plus rudes sentiers ; là les soldats ayant soif, Venant s’agenouilla sur une pierre qui se trouvait à proximité, dans une dépression du sol ; ayant tracé sur elle le signe de la croix, il en jaillit de l’eau. Il laissa sur cette pierre l’empreinte de ses genoux, ainsi qu’on peut le voir encore dans son église où elle est conservée. Touchés de ce miracle, plusieurs soldats crurent en Jésus-Christ. Le gouverneur leur fit trancher la tête ainsi qu’à Venant, sur les lieux mêmes. Aussitôt il y eut un orage et un tremblement de terre tels que le gouverneur prit la fuite ; mais il ne put se dérober à la justice divine, et il périt peu de jours après l’une mort très honteuse. Pendant ce temps, les Chrétiens ensevelirent à une place d’honneur le Martyr et ses compagnons, et leurs corps ont conservés jusqu’à ce jour, à Camérino, dans l’Église dédiée à Saint Venant.
(Source : L'année liturgique de Dom Guéranger )

Bienheureux Fra Angelico

Fra Angelico ou Bienheureux Jean de Fiesole
Guido est né en Toscane. Adolescent, il va à Florence où il apprend à peindre, mais c'est la vie religieuse qui l'attire. Les deux ne sont pas incompatibles. Avec son frère Benoît, il entre au couvent des Dominicains de Fiesole où il reçoit le nom de Jean. Ordonné prêtre, il devient le prieur du couvent de Fiesole où il peint plusieurs retables. Puis on l'envoie au couvent Saint Marc de Florence pour le décorer. Il y couvre de fresques le cloître, la salle du chapitre, les cellules et les couloirs du dortoir. Il décore aussi les murs de deux chapelles dans Saint Pierre de Rome au Vatican, puis la chapelle privée du Pape Eugène IV. "Quiconque fait les choses du Christ, doit être tout entier au Christ" aime à dire frère Jean de Fiesole qu'on appelle aussi Fra Angelico. Il est simple et droit, pauvre et humble.
Une légende dit que les anges qu'il avait peints pleurèrent le jour de sa mort, le 18 février 1455.
Le Pape Jean-Paul II a accordé son culte liturgique en 1982 à l'Ordre des Frères Prêcheurs et en a fait le patron des artistes.
(Nominis)
Il est enterré à Rome dans l'église de la Minerve.

Saint Antonin de Florence

Dominicain italien qui remplit les diverses charges de son Ordre avant d'être nommé archevêque de Florence. Il a laissé de nombreux ouvrages de théologie morale, de droit canonique et d'histoire. (dominicain que nous fêtons aussi selon le calendrier de l'Ordre auquel il appartenait)
L'Église universelle fait mémoire de lui en ce jour et rappelle que c'est lui qui dirigea les travaux du Bienheureux Fra Angelico qui, par ses fresques, ornait de prière méditative les cellules de ses frères au couvent Saint Marc de Florence, leur faisant ainsi partager sa vie spirituelle.
(Nominis)
Son corps, intact, est vénéré dans une châsse-reliquaire de l'autel de la chapelle Salviati (à gauche du chœur) de la basilique San Marco de Florence.
À présent, un dossier a été ouvert par le Saint-Siège pour une proclamation de saint Antonin comme docteur de l'Église catholique.

Saint Aimé Roncoli

Né à Saludecio près de Rimini vers 1226, orphelin jeune, il sentit que Dieu l'appelait à une vie de prière et de pénitence et après avoir rejoint le tiers ordre franciscain, il commença à vivre en ermite, quittant son ermitage de temps en temps pour aller en pèlerinage dans des sanctuaires comme à Saint Jacques de Compostelle et également pour s'occuper des pauvres et des malades. Il fonda l'hôpital Sainte Marie à Monte Orciaro près de Rimini et c'est là qu'il termina sa vie en tant qu'infirmier le 8 mai 1292.
Il fut canonisé récemment en 2014.

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