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Février 2015

Message d'erreur

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La sainteté salésienne

En fondant les salésiens, Saint Jean Bosco a permis a beaucoup de prêtres et de jeunes de trouver leur chemin de sainteté.
Cette congrégation qui n'a que 155 ans a déjà beaucoup de saints, bienheureux, vénérables ou serviteurs de Dieu.

Saint Louis Guanella

À Côme en Lombardie, prêtre, qui fonda la Congrégation des Serviteurs de la Charité et, avec la bienheureuse Claire Bosatta, celle des Filles de sainte Marie de la Providence.
Né en 1842 dans une famille simple et pieuse, son désir était de servir les pauvres et les plus nécessiteux. Ordonné prêtre en mai 1866, il passa de nombreuses années à servir en différents lieux. Ses idées étaient influencées par le travail effectué par Saint Jean Bosco pour les jeunes et par saint Joseph Cottolengo pour les handicapés. Il passa trois ans avec Jean Bosco. En 1881, il fonda la communauté religieuse des Filles de Sainte Marie de la Providence puis, en 1908, une communauté de frères et de prêtres, les serviteurs de la Charité, pour aider, instruire et réhabiliter les miséreux. Il commença aussi à œuvrer pour les personnes âgées dont les besoins étaient souvent ignorés.
Béatifié par Paul VI le 25 octobre 1964. Canonisé le 23 octobre 2011 par Benoît XVI en même temps que Guy-Marie Conforti et Bonifacia Rodríguez de Castro.
(Nominis)

Saint Gabriel de l'Addolorata

À Isola del Gran Sasso dans les Abruzzes, en 1862, saint Gabriel de la Vierge des Douleurs (François Possenti), acolyte, qui, à l’âge de dix-huit ans, renonça aux attraits du monde et entra dans la Congrégation de la Passion, où, après cinq ans, atteint de tuberculose il vécut sa dernière année dans une union à Dieu très profonde et une charité fraternelle des plus délicates.

Martyrologe romain

Synode sur l'Evangelisation

IIIème Assemblée Générale Ordinaire du Synode des Evêques (27 septembre - 26 octobre 1974)
Thème : “L’évangélisation dans le monde moderne”
Exhortation apostolique : Evangelii Nuntiandi

Institution du synode des évêques

Le Synode des Évêques a été institué par Paul VI avec le Motu proprio "Apostolica sollicitudo" du 15 septembre 1965. C’est à l’Angélus du dimanche 22 septembre 1974, que Paul VI lui-même donna la définition du Synode des Évêques: "C’est une institution ecclésiastique que nous avons établie après le Concile Vatican II, en interrogeant les signes des temps, et surtout en cherchant à interpréter en profondeur les desseins divins et la constitution de l’Église catholique, afin de favoriser l’union et la collaboration des Évêques du monde entier avec ce Siège Apostolique, à travers une étude commune des conditions de l’Église et la solution concordante des questions concernant la mission de cette dernière. Il ne s’agit pas d’un Concile, ni d’un Parlement, mais d’un Synode d’une nature particulière".
Source : http://www.vatican.va/news_services/press/documentazione/documents/sinod...

Début de la théologie de la libération

La théologie de la libération est un courant de pensée théologique chrétienne venu d’Amérique latine, suivi d’un mouvement socio-politique, visant à rendre dignité et espoir aux pauvres et aux exclus et les libérant d’intolérables conditions de vie. Enracinée dans l’expérience biblique du peuple juif guidé par Dieu au-delà de la mer Rouge et à travers le désert — d’une terre d’esclavage (Égypte) à la Terre promise (Exode, ch. 12 et suivants) elle est un « cri » prophétique pour plus de justice et pour un engagement en faveur d’un « Règne de Dieu » commençant déjà sur terre. La réflexion théologique part de la base : le peuple rassemblé lit la Bible et y trouve ressources et inspiration pour prendre en main son destin.
L’expression « théologie de la libération » fut utilisée une première fois par Gustavo Gutiérrez lors du congrès de Medellin du Conseil épiscopal latino-américain (CELAM), en 1968. Il développa et articula sa pensée dans un livre Théologie de la libération paru en 1972 qui est largement considéré comme le point de départ du courant théologique. La même année, le presbytérien Rubem Alves soutenait sa thèse, Towards a theology of liberation.
Pour la pratique, l'instrument d'analyse et d'observation utilisé est inspiré du marxisme, même si les théologiens de la libération se distancent quasiment tous de l'idéologie marxiste. Elle prône la libération des peuples et entend ainsi renouer avec la tradition chrétienne de solidarité. Parmi ses représentants les plus célèbres, on compte les archevêques Hélder Câmara et Oscar Romero ou encore le théologien Leonardo Boff.
Dans son encyclique Sollicitudo Rei Socialis de 1987 Jean-Paul II fait largement appel au concept de « libération » (N°46) tout en rappelant quelques mises en garde faites par la Congrégation pour la doctrine de la foi en 1984.
(Wikipédia)

Alexandre devient patriarche d'Alexandrie

Patriarche d'Alexandrie au moment de l'édit de Milan et de la fin des persécutions, Saint Alexandre d'Alexandrie réorganise l'Église d'Égypte.

Saint Alexandre d'Alexandrie

Évêque d'Alexandrie, après avoir vainement essayé de ramener à la foi orthodoxe, Arius, l'un de ses prêtres, il convoqua un concile pour condamner l'hérésie naissante.
Secondé par l'un de ses diacres qui deviendra saint Athanase, il fait triompher la vérité lors du concile de Nicée en 325.

Nominis

Commémoraison de saint Alexandre, évêque d’Alexandrie, glorieux vieillard enflammé de zèle pour la foi. Devenu évêque de cette ville en 313, il chassa de la communion de l’Église Arius, fondateur de l'arianisme, son prêtre perverti par l’impiété hérétique, réfuté par la vérité divine, et que, plus tard, il condamna avec les trois cent dix-huit Pères du Concile de Nicée. Quelques mois après le Concile, en 326, il s’en alla vers le Seigneur.

Martyrologe romain

Saint Auguste Chapdelaine

À Xilinxian, dans la province chinoise de Guangni, en 1856, saint Auguste Chapdelaine, prêtre de la Société des Missions étrangères de Paris et martyr. Arrêté par des soldats avec plusieurs néophytes, parce qu’il avait, le premier, semé la foi chrétienne dans cette région, il fut, sur l’ordre du grand mandarin, frappé de trois cents coups de rotin, enfermé dans une cage étroite et enfin décapité. (éloge omis le 28 février des années bissextiles)

Martyrologe romain

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