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Octobre 2014

Message d'erreur

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Bombardements atomiques d'Hiroshima et Nagasaki

Les bombardements atomiques d'Hiroshima et Nagasaki, derniers des bombardements stratégiques sur le Japon, ont eu lieu les 6 et 9 août 1945 à l'initiative des États-Unis sur les centres historiques d'Hiroshima (340 000 habitants) et de Nagasaki (195 000 habitants), deux villes sans véritables objectifs ni défenses militaires, choisies au dernier moment pour remplacer les cités historiques de Kyoto et de Kokura.
(Wikipédia)

Eusèbe de Césarée

Eusèbe de Césarée ou Eusèbe (de) Pamphile, né vers 265 et mort le 30 mai 339, évêque de Césarée en Palestine. Élève d'Origène, il échappa aux persécutions de Dioclétien, et fut un proche de l'empereur romain Constantin Ier. Il est l'auteur de nombreuses œuvres historiques, apologétiques, bibliques et exégétiques.
Auteur de l’Histoire ecclésiastique, il est reconnu comme un Père de l'Église, et ses écrits historiques ont une importance capitale pour la connaissance des trois premiers siècles de l'histoire chrétienne.

Règne de l'Empereur Constance II

Conformément à l'exemple donné par son père, Constance, voyant l’Église confrontée au schisme donatien et surtout à l'hérésie arienne, se considère le devoir de veiller à en reconstituer l'unité autour d'une même profession de foi. Sous le règne de son père divers conciles avaient déjà été réunis sur cette délicate question de la consubstantialité — ou non — du Père et du Fils, le Seigneur et le Christ. Constance embrasse la cause arienne, à la différence de son jeune frère farouchement nicéen. Son triomphe sur Magnence de 353 lui permet d'imposer ses vues à toute la Chrétienté alors même que le soutien de l'évêque arien Ursace de Singidunum à la veille de la bataille de Mursa renforce son parti-pris en faveur des théories du défunt Arius. Constance souhaite d'abord écarter ses adversaires nicéens et fait ainsi déposer Saint Athanase d'Alexandrie, évêque oriental et néanmoins l'un des plus farouches défenseurs de la consubstantialité, suite au synode d'Arles et au concile de Milan. En 356, Constance tente même de le faire arrêter mais l'évêque prend une troisième fois le chemin de l'exil tandis que l'armée investit Alexandrie pour soutenir le nouvel évêque, Georges de Cappadoce. Le vieil Ossius de Cordoue, qui avait conseillé Constantin durant le concile de Nicée, doit partir pour Sirmium, Paulin de Trèves, seul à avoir défendu Athanase au synode d'Arles est envoyé en Asie Mineure, tandis que Lucifer de Cagliari, Saint Eusèbe de Verceil ou encore Denis de Milan sont eux aussi exilés en plein Orient arien. Le pape Saint Libère lui-même est assigné à résidence à Béroia de Macédoine, en 355, tandis que Constance fait élire un nouvel évêque de Rome plus proche de ses idées en la personne de Félix II.

Saint Basile de Césarée

Basile de Césarée, appelé également Basile le Grand, né en 329 et mort le 1er janvier 379 à Césarée, est l'un des principaux Pères de l'Église.
Fondateur d'un monastère dans la région du Pont, sur la mer Noire, il est l'auteur d'une règle, la règle de saint Basile, qui est devenue la principale règle monastique de l'Église d’Orient et qui a inspiré la règle de Saint Benoît de Nursie en occident. Il pratiqua l'ascèse toute sa vie.
En 370, il devient évêque de Césarée. Son engagement pendant la famine, les institutions qu’il crée et qui portent son nom, la Basiliade, en ont fait l'un des précurseurs du christianisme social.
Il défend la foi de Nicée contre l’arianisme et écrit des traités sur le Saint-Esprit, développant la théologie de la Trinité. Il cherche autant qu'il est possible à pacifier les divisions au sein de l’Église. Il est considéré avec Saint Grégoire de Nazianze et Saint Grégoire de Nysse comme l'un des trois « pères cappadociens ».
Il est reconnu Docteur de l'Eglise en 1568 par le pape Saint Pie V. Il est vénéré en tant que saint par les orthodoxes comme par les catholiques : le 2 janvier en Occident, et le 1er janvier, son dies natalis, en Orient. Il est également fêté lors de la « fête des trois docteurs œcuméniques » le 31 janvier, avec Saint Jean Chrysostome et Saint Grégoire de Nazianze.

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